Révélations Explosives:
l'Origine du Judéo-Islamo-Christianisme
dévoilée par le Fanatisme Satanique
 des Premiers Judéo-Chrétiens



Texte de la vidéo / retranscription des sous-titres



Le mensonge des premiers martyrs chrétien démasqué


     condamnation pour pratique criminelles: rituels d'infanticide.
On fait donc pleurer sur les premier martyrs chrétiens, mais non seulement on n'explique pas assez que les premiers chrétiens étaient en fait des fanatiques suicidaires qui faisaient tout pour mourir en martyr, mais en plus, on occulte le fait que les condamnés étaient des montanistes accusés de pratiquer des infanticides rituels. Agnes Anna Nagy. La forme originale de l'accusation d'anthropophagie contre les chrétiens).
    "Certaines enquêtes avaient tourné au détriment des inculpés. Les apologistes ne le nient pas" "[pour les chrétiens gnostiques] les martyrs avaient presque toujours tort ; les peines qu’ils souffraient étaient le juste châtiment de crimes qui auraient mérité la mort et qui étaient restés cachés." Renan
    Alors calomnie des romains, méprise ou réelle pratique chez certaines des premières sectes judéo-chrétiennes ? Et bien, les pères de l'église confirment l'accusation des romains ! D'après Saint-Augustin, "les Cataphrygiens, [= les chrétiens montanistes] pratiquent une foule de piqûres sur le corps d'un enfant d'un an : le sang qui en sort, ils le mélangent avec de la farine, en font du pain, et se préparent ainsi une sorte d'eucharistie. Si l'enfant meurt de ses blessures, on le regarde comme un martyr : s'il y survit, comme un grand prêtre." Augustin, Hérésies, XXVI. « [Montanus] égorgeait de misérables petits enfants et les coupait en morceaux pour leurs banquets impurs ; à cause de cela, jusqu'à une époque assez récente, nous étions soupçonnés de ces crimes ; car les montanistes étaient aussi appelés, à tort il est vrai, du nom commun de chrétiens » Cyrille de Jérusalem. Catéchèse 16.8."ils pilent le foetus dans un mortier, et le mêlent avec de la farine, du miel et du poivre, et prient Dieu en le mangeant" Saint Épiphane (cité par Voltaire). The Blood Libel Against the Montanists. Rives James.


    Le montanisme est un phénomène de l’an 170 à peu près ; or le montanisme est un des événements les plus notables du christianisme naissant. Après plus d’un siècle écoulé depuis les étranges hallucinations du cénacle des apôtres de Jérusalem, on vit renaître tout à coup, dans quelques cantons perdus de la Phrygie, la prophétie, la glossolalie, les charismes que l’auteur des Actes des Apôtres raconte avec tant d’admiration." Renan.
    Le gros des martyrs étaient des montanistes (voir ci-dessous), des fanatiques chrétiens millénaristes enragés qui voulaient la destruction du paganisme (voir ici) et qui seront d'ailleurs plus tard condamnés par l'église elle-même.
    Commentaires d'Ernest Renan sur les montanistes: "Le montanisme est une sorte de retour vers le judaïsme au sein du christianisme phrygien." "nous affirmons même que les adhérents de ces sectes, repoussés par l’orthodoxie, étaient les vrais successeurs de Jésus, des Douze et de la famille du Maître." "les martyrs montanistes (et nulle Église n’en avait davantage)" "Sous Dèce, les montanistes fournissent au martyre un contingent considérable." "C’est le montanisme qui inventa cette étrange association d’idées, créa la Vierge martyre". Les martyrs de Lyon (Blandine ect..) étaient accusés d'infanticide et étaient sous influence montaniste (Renan: "Montanistes par l’ardeur du martyre, les Lyonnais sont..." "Après avoir été la ville du gnosticisme et du montanisme, Lyon sera..."). "le Phrygien Alexandre, qui semble avoir apporté à Lyon les idées montanistes, était en Gaule « depuis plusieurs années » quand il fut martyrisé en 177". Disciple de Polycarpe, Pothin arrive de Smyrne en Asie Mineure vers 140. Il est le premier évêque de Lyon. Renan Saint Paul Antéchrist Marc-Aurèle




        Isaac: rituels d'infanticide. Dans le nouveau testament, on peut lire: "C'est par la foi qu'Abraham a offert Isaac lorsqu’il a été mis à l'épreuve. Oui, il a offert son fils unique en sacrifice [..] Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter les morts; aussi le recouvra-t-il par une sorte de prefiguration (résurrection ?)." Epître aux Hébreux 11,17-19
    étrangement, l'auteur affirme que le sacrifice d'Isaac qui n'a pas eu lieu (selon la genèse) a en fait eu lieu. ("il offrit son fils unique" hébreux 11,17.
Jacques 2:21 "Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les oeuvres, lorsqu'il offrit son fils Isaac sur l'autel? ") et se justifie par la ressurection ("Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter les morts" hébreux 11,19).



"sans effusion de sang il n’y a pas de pardon" "Car là où il y a un testament, il est nécessaire que la mort du testateur soit constatée. Un testament, en effet, n’est valable qu’en cas de mort, puisqu’il n’a aucune force tant que le testateur vit. Voilà pourquoi c’est avec du sang que même la première alliance fut inaugurée." ""C’est par la foi qu’il fit la Pâque et l’aspersion du sang, afin que l’exterminateur ne touchât pas aux premiers-nés des Israélites." Epitre aux Hébreux


     "Selon le texte biblique, il a seulement échappé à la mort lorsque l’ange du Seigneur a interdit à son père Abraham de porter la main sur lui (Gn 22,12), mais les sources juives parlent bel et bien de mort et de résurrection. Le texte le plus explicite à ce sujet se trouve dans les Pirqé de-Rabbi Éliézer [..] Il existe donc un faisceau d’indices permettant d’affirmer l’existence d’une tradition juive ancienne selon laquelle Isaac n’a pas été épargné, comme le dit le texte biblique, mais qu’il a bel et bien perdu et retrouvé la vie sur le mont Moria"
Michel Remaud. Isaac et la foi en la résurrection des morts




L'origine du monothéisme Abrahamique:
 le satanisme des
Hyksos pour Seth-Baal-Typhon



    « Ceux qui disent que Typhon [Seth] s'enfuit du combat monté sur un âne, qu'il courut pendant sept jours, et qu'ayant ainsi échappé à ses ennemis, il eut dans la suite deux fils nommés Hiérosolymus (Jérusalem) et Judéus (le peuple Juif), ont évidemment voulu mêler à la fable égyptienne les événements du peuple juif. Telles sont les allégories que cette explication renferme. »
PLUTARQUE, TRAITÉ D'ISIS ET D'OSIRIS
Psaumes 6 -14


       [Les envahisseurs Hyksos] « rasèrent les temples des dieux » « [Le pharaon] recommanda aux prêtres de chaque district de cacher le plus sûrement possible les statues des dieux » il ne "se contentèrent pas de piller les temples et de mutiler les statues des dieux" "incendièrent les temples, égorgèrent les prêtres"  Flavius Josephe, Contre Apion.


    Monolâtrie du pharaon Hyksos pour le diable des egyptiens "[Apopi / Apophis] a choisi pour son Seigneur le dieu Seth. Il n'a adoré aucune autre divinité dans tout le pays à l'exception de Seth. " Papyrus Sallier 1 (Apophis histoire de Séqénenrê et Apophis)

king Apophis-life prosperity, health, made him Seth as Lord, and he would not serve any god who was in the land except Seth. And he built a temple of good and eternal work beside the House of King Apophis-life prosperity, health and he appeared every day to have sacrifices made…daily to Seth
Siegfried Morenz, Egyptian Religion, New York, Cornell University Press, 1973, p. 171-172

selon le Papyrus Sallier I, Apophis n’a pas été le seul roi Hyksos à adorer principalement Seth. En effet, « un autre roi Hyksos, résidant aussi à Avaris, sommait un prédécesseur de Kamose de deviner une énigme ou de reconnaitre la primauté du dieu Seth ».
La Stèle Du Roi Kamose. Pierre Montent. Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1956.


     Victoire Egyptienne contre les Hyksos « J'ai remis en bonne condition ce qui était en décrépitude, j'ai redressé ce qui était en ruine depuis les temps où les asiatiques (Aamou) étaient au milieu du delta à Avaris, avec des nomades (Chémanou) parmi eux détruisant tout ce qui avait été. Ils gouvernaient dans l'ignorance de Rhé : on n'agissait plus selon l'ordre divin jusqu'à ce que vient Ma Majesté » inscription à Hatchepsout (cinquième souveraine de la XVIII dynastie) au spéos artemidos. cité dans « le Seth des Hyksos et le thème de l'impiété cultuelle » Y. Volokhine


    Seth est le diable des égyptiens (Plutarque, Traité d'Isis et d'Osiris), équivalent de Typhon (Grec), de Baal (levant), équivalent de Allah (Houbal le Seigneur de la Ka'ba), et équivalent du dieu de l'ancien testament, Yavhé qui est le Diable du polythéisme ennemi des dieux (Psaumes 6 -14;  Ezéchiel  32:7).


    Monolâtrie pour Seth-Baal-Typhon, "l'ennemi des dieux" (Pindare, pythiques, 1 15).5.  Pindare, pythiques, 1 15.


« l'Eternel [Yahvé] est plus grand que tous les dieux [Elohim] »
Bible, Exode 18:11 « Le Seigneur est grand et mérite bien qu'on l'acclame. Il est plus redoutable que tous les dieux » Bible, 1 Chroniques 16:25 (voir aussi Psaume 96:4, 95:3, 97:9, 145:3. Jérémie 10:6) « Dieu se tient dans l'assemblée de Dieu; Il juge au milieu des dieux » Bible, psaume 82:1

   
« le Dieu des Juifs est si grand qu’il épouvante les dieux mêmes » « lui devant qui tremblent les divinités des païens » « ce Dieu qui est reconnu comme le plus grand de tous par ceux-là mêmes qui en adorent plusieurs » « terrible aux dieux mêmes » « le même Dieu devant qui tremblent toutes les autres divinités; je l’ai déjà dit et je ne suis pas fâché de le répéter  » « Le Seigneur leur sera redoutable; il exterminera tous les dieux de la terre »  (Sophonie, 2;11)
Augustin, citée de dieu, XIX, XXII et XXIII – XX, XXIV - XXII, III et XXII et XXV- XVIII, XXXIII  (Jérémie 10:11)

"Allahou Akbar" ou "Allahu akbar" signifie « Dieu est le plus grand »
Coran, Sourate 17, 111


       L'origine satanique du monothéisme abrahamique: rituels d'infanticide issu du culte de Seth-Baal. "L'Eternel parla à Moïse, et dit: "Consacre-moi tout premier-né, tout premier-né parmi les enfants d'Israël, tant des hommes que des animaux: il m'appartient"" Exode 13-1 "Voilà pourquoi j'offre en sacrifice à l'Eternel tout premier-né des mâles" Exode 13-15. Moïse dit : Consacrez-vous aujourd’hui à l’Éternel, même en sacrifiant votre fils et votre frère, afin qu’il vous accorde aujourd’hui une bénédiction Exode 32-29

    "Fabricius nous a conservé l’ancien conte d’un Juif qui se mêla d’être plaisant, et qui fit sentir combien les prêtres juifs, ainsi que les autres, aimaient à faire bonne chère aux dépens des pauvres gens. Le grand-prêtre Aaron va chez une bonne femme qui venait de tondre la seule brebis qu’elle avait : « Il est écrit, dit-il, que les prémices appartiennent à Dieu ; » et il emporte la laine. Cette brebis fait un agneau : « Le premier né est consacré ; » il emporte l’agneau, et en dîne. La femme tue sa brebis ; il vient en prendre la moitié, selon l’ordre de Dieu. La femme, au désespoir, maudit sa brebis : « Tout anathème est à Dieu, » dit Aaron ; et il mange la brebis tout entière. C’était là à peu près la théologie de toutes les nations." Voltaire


"Les poètes, il est vrai, imputent à Saturne d’avoir dévoré ses enfants, et la théologie physique interprète cette tradition comme il lui plaît; mais l’histoire porte simplement qu’il les tua; et si à Carthage on lut sacrifiait des enfants, c’est un usage que les Romains ont répudié. Augustin, citée de Dieu, VII, XXVI


    "Le judaïsme en général n’a été qu’une aberration, l’ouvrage d’un mauvais ange, qui a fait prendre aux juifs tout de travers les ordres de Dieu" "La circoncision lui paraît avoir été de tout temps une méprise des juifs, un malentendu qui leur a été inspiré par quelque génie pervers. Le temple même fut une erreur ; le culte qu’on y pratiquait était presque idolâtrique ; il reposait tout entier sur l’idée païenne qu’on peut renfermer Dieu dans une maison" Renan



    Cannibalisme judéo-chrétien: Le philosophe Porphyre dénonçait la communion chrétienne comme du cannibalisme, un fantasme effectivement courant chez les permiers judéo-chrétiens: "Les Juifs victorieux dévoraient les membres, léchaient le sang, et enlaçaient les entrailles autour de leur corps en forme de ceinture" Gibbon, chap XVI. Voir aussi dans la bible: "Vous vous rassasierez à ma table de la chair des chevaux et des cavaliers, de la chair des héros et de tous les hommes de guerre, Dit le Seigneur, l'Eternel." Ézéchiel 39-20. "Venez, rassemblez-vous pour le grand festin de Dieu afin de manger la chair des rois, la chair des chefs militaires, la chair des guerriers, la chair des chevaux et de ceux qui les montent, la chair de tous les hommes, libres et esclaves, petits et grands" Apocalypse 19.18. "Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage." Evangile de Jean 6-54/58. Voltaire, Dictio. Philos., Anthropophages.    
    « les Juifs de la Cyrénaïque, égorgèrent les Romains et les Grecs, mangèrent leur chair, se faisant des ceintures avec leurs boyaux, léchaient le sang, se couvrirent de leur peau. On vit des forcenés scier des malheureux de haut en bas par le milieu du corps »  Ernest Renan, les Evangiles  d’après Dion Cassius, Histoire Romaine LXVIII


"Donne ton fils! nous le mangerons aujourd'hui, et demain nous mangerons mon fils. Nous avons fait cuire mon fils, et nous l'avons mangé."  2 Rois 6:28-29 "Les femmes, malgré leur tendresse, Font cuire leurs enfants; Ils leur servent de nourriture" Lamentations 4:10


Jésus: "Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage". Evangile de Jean 6-54/58.



    La mort sur la croix de Jésus-Christ est un sacrifice pour le Diable. Jésus nous dit qu'il "donne sa vie pour la rançon de beaucoup" Marc 10-45. Les païens superstitieux sacrifiaient des animaux vivants pour apaiser la colère des dieux mais la pratique était critiquée (Lucrèce, Ammine Marcellin contre Julien...) et remplacée par de l'encens. La mort de Jésus rentre toutefois dans cette logique superstitieuse, sauf que c'est un sacrifice humain volontaire pour apaiser le courroux de Dieu-le-père une bonne fois pour toute et racheter le péché des hommes. Sauf que tous veulent l'imiter, Paul, Pierre, Ignace, Justin....  Le judaïsme était une religion sacrificielle contrôlée par les rabbins qui avaient décrétés que les sacrifices devaient avoir lieu dans le temple de Jérusalem. Après la destruction du temple en 70 par les Romains, les sacrifices ne peuvent donc plus avoir lieu et la religion judaïque est conduite à se transformer. La destruction du temple a favorisé la conversion des juifs au judaïsme rabbinique/talmudique ou au christianisme.


la nouvelle alliance: "Je suis le pain de vie. Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts."


Non Marcion, Jésus-Christ est l'incarnation de Yavhé le dieu des juifs:

C'est mon père qui me glorifie, lui que vous dites être votre Dieu"  jean 8.38 "Je dis ce que j'ai vu chez mon Père; et vous, vous faites ce que vous avez entendu de la part de votre père [Abraham]" jean 8.38 "notre Dieu, est l'unique Seigneur"


Jésus-Christ: un fondamentaliste intégriste qui veut rétablissement des sacrifices humains.
    Je publierai des choses cachées depuis la création du monde Matthieu 13:35 Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition? [..] Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition. Matthieu 15.3-6 Jésus leur dit: Si vous étiez enfants d'Abraham, vous feriez les œuvres d'Abraham. Jean 8:39 Rendre à dieu ce qui appartient à dieu [loi des prémices] Matthieu 22.21 Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux; vous n'y entrez pas vous-mêmes, et vous n'y laissez pas entrer ceux qui veulent entrer. Matthieu 23:13 & Luc 11:52
   
"Moïse ne vous a-t-il pas donné la loi? Et nul de vous n'observe la loi." jean 7.19 "Pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition? Matthieu 15.4  Ce dont j'aurais pu t'assister est une offrande à Dieu, n'est pas tenu d'honorer son père ou sa mère. Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition. Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes Il leur dit encore: Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition. Marc 7.8-9
   Mais vous, vous dites: Si un homme dit à son père ou à sa mère: Ce dont j'aurais pu t'assister est corban, c'est-à-dire, une offrande à Dieu, vous ne le laissez plus rien faire pour son père ou pour sa mère, annulant ainsi la parole de Dieu par votre tradition, que vous avez établie. Et vous faites beaucoup d'autres choses semblables.
    Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. Matthieu 5:17



    Jésus-Christ veut qu'on s'offre en sacrifice, libation/prémice à Dieu. Jésus "donne sa vie pour la rançon de beaucoup"  Marc 10-45.  « Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier » 1 jean 2:2  « Christ est ressuscité des morts, il est les prémices de ceux qui sont morts» « Christ comme prémices » 1 Corinthiens 15:20-23  Jésus: “Celui qui aime sa vie la perdra, mais celui qui hait sa vie en ce monde la conservera pour la vie éternelle ” Jean 12-25 « celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n'est pas digne de moi. » Matthieu 10-38  « si je sers de libation pour le sacrifice et pour le service de votre foi, je m'en réjouis » 2 Timothée 4:6 et  Philippiens 2:17 ("tu feras une libation d'un demi-hin de vin: c'est un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Eternel. " Nombres 15:10)


    Jésus se sacrifie en victime expiatoire pour être manger ? « Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert (Nombres 21.9), il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. » Jean 3.14-15 "En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle. Je suis le pain de vie. Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts. C'est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde. Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant: Comment peut-il nous donner sa chair à manger? Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui" Jean 6:48-56 (Le soir venu, vint un homme riche d’Arimathie, nommé Joseph, qui lui aussi était disciple de Jésus. Il alla trouver Pilate pour demander le corps de Jésus ; Pilate alors ordonna qu’on le lui remit. (Matthieu 27, 57-58)). Qu'est ce que les disciples ont fait du corps après l'avoir récupéré. Ne l'auraient-il donc pas mangé ? (Voir les idées d'Allan Arsmann)





Le fanatisme suicidaire des premiers chrétiens



    Les martyrs chrétiens étaient volontaires au supplice. Dans les actes des apôtres: "[Les juifs] les firent battre de verges [] Les apôtres se retirèrent de devant le sanhédrin, joyeux d'avoir été jugés dignes de subir des outrages pour le nom de Jésus." Actes 5-40. Saint Justin de Naplouse: "C'est là notre désir le plus cher, souffrir pour Notre Seigneur Jésus-Christ afin d'être sauvé" (à Rusticus). D'après Justin, les chrétiens embrassaient "avec joie le trépas" (Apologie II, XII). Idem On voit que la vie de Paul relatée dans les Actes des apotres cherche à reproduire celle de Jésus.

    "Un jour le proconsul d’Asie, Arrius Antoninus, ayant ordonné de rigoureuses poursuites contre quelques chrétiens, vit tous les fidèles de la ville se présenter en masse à la barre de son tribunal, réclamant le sort de leurs coreligionnaires élus pour le martyre ; Arrius Antoninus, furieux, en fit conduire un petit nombre au supplice et renvoya les autres en leur disant: « Allez-vous-en, misérables ! Si vous tenez tant à mourir, vous avez des précipices, vous avez des cordes»." Renan et Gibbon (ChapXVI). (Voir aussi John Scheid).
   
Les chrétiens sont des fanatiques suicidaires que les romains ne veulent pas particulièrement persécuter pour leur croyance. Au contraire, on voit leur embarras à punir ces masochistes: « Vous autres Chrétiens, si vous aspirez à mourir, que ne vous tuez-vous pas vous-mêmes ? vous jouirez plus tôt de votre Dieu et vous nous causerez moins d’embarras » (Justin de Naplouse, Apologie II, IV) et enfin l'empereur Antonin aurait dit: "ne voyez-vous pas que tout ce qu’ils ambitionnent, c’est de mourir pour la cause dont on leur fait un crime ; que cette mort même est une victoire sur vous, puisqu’ils préfèrent la souffrir plutôt que de se soumettre à ce que vous exigez d’eux ?" (Justin de Naplouse, Apologie, Apologie I).

      Radicalisation chez Ignace d'Antioche, son désir très fort du martyre sanglant dans l'arène peut sembler étrange au lecteur moderne: il conçoit le martyre comme une libation, un sacrifice envers le Christ et demande à ses amis de ne pas intervenir pour le faire  libérer: "Laissez-moi être la pâture des bêtes, par lesquelles il me sera possible de jouir de Dieu. Je suis le froment de Dieu, et il faut que je sois moulu par la dent des bêtes, pour devenir pur pain du Christ. [...] Feu et croix, troupeaux de bêtes, lacérations, écartèlements, dislocation des os, mutilation des membres, mouture de tout le corps, que les pires fléaux du diable tombent sur moi, pourvu seulement que je jouisse de Jésus-Christ" (lettre aux romains).

    Idem chez Polycarpe de Smyrne:  "au cours de sa prière, trois jours avant d’être arrêté, il eut une vision : son oreiller prenait le feu et était entièrement consumé. Alors il se tourna vers ses compagnons :  "Il faut que je sois brûlé vif"." Récit du martyre de saint Polycarpe.
    Idem dans les Actes du martyre de Cyprien: "Après cette sentence, le peuple des frères s’écriait : « Qu’on nous décapite avec lui ! »"

    Idem chez Perpétue: "elle se désolait, à la pensée qu’on ajournerait son martyre, à cause de son état : la loi interdisant d’exécuter des femmes enceintes. Elle craignait aussi qu’elle n’eût à verser plus tard son sang pur et sans tache dans une fournée de criminels. Ses compagnons de martyre étaient profondément tristes à la pensée de laisser seule une si bonne compagne, une amie qui avec eux marchait vers une même espérance."
    "En raison des difficultés inhérentes à un accouchement au huitième mois, elle souffrait beaucoup et gémissait. Alors, un des geôliers lui dit : « Si déjà tu gémis ainsi maintenant, que feras-tu une fois livrée aux fauves, que tu as bravés en refusant de sacrifier ? » Félicité lui répondit : « Maintenant c’est moi qui souffre ce que je souffre. Mais, là-bas, un autre sera en moi qui souffrira en moi, parce que c’est pour lui que je souffrirai. "
    "Le jour de la victoire se leva enfin. Les martyrs quittèrent la prison et s’acheminèrent vers l’amphithéâtre ; on eût dit qu’ils montaient au ciel. Leurs visages étaient radieux, ils étaient beaux. Ils étaient émus non de peur, mais de joie. "
    "Félicité la suivait ; elle était toute joyeuse de son heureuse délivrance qui lui permettait d’affronter les fauves ; elle était ravie d’aller du sang au sang, de l’accoucheuse au rétiaire, pour se purifier par un second baptême."
    "Révocatus, Saturninus et Saturus menaçaient le peuple de la colère divine. Quand ils passèrent devant la loge d’Hilarianus, ils lui dirent par gestes et par signes : « Tu nous juges, mais Dieu te jugera ! » Le peuple, exaspéré, demanda qu’on les fît fouetter par les chasseurs rangés en file. Les martyrs s’en réjouirent ; ils pouvaient ainsi partager les souffrances du Seigneur."




    Crises de Glossolalie chez les apôtres : Délires dans un langague incompréhensible. Signe souvent observé dans les maladies mentales. "Première épître aux Corinthiens : « Celui qui parle en langues [lalein glosse] ne parle pas aux hommes, mais à Dieu, car personne ne le comprend. Sous l’influence de l’Esprit, il dit des choses inintelligibles. » [..]


 

     Les fanatiques chrétiens extrêmement violents: les circoncellions donatistes (le daesch chrétien du IVe siècle): "la fureur des donatistes était enflammée par une frénésie d’une espèce extraordinaire et dont il n’y a jamais eu d’exemple dans aucun temps et dans aucun pays, s’il est vrai qu’ils l’aient poussée au degré d’extravagance qu’on leur attribue. Une partie de ces fanatiques détestaient la vie et désiraient vivement de recevoir le martyre. Il leur importait peu par quel supplice ou par quelles mains ils périssaient, pourvu que leur mort fût sanctifiée par l’intention de se dévouer à la gloire de la vraie foi et à l’espérance d’un bonheur éternel. Ils allaient quelquefois insulter les païens au milieu de leurs fêtes et jusque dans leurs temples, dans l’espérance d’exciter les plus zélés idolâtres à venger l’honneur de leurs divinités"  [Ils pratiquent des suicides collectifs: des exaltés s'immolent sur des bûchers, se jettent, parfois en groupe, du haut de rochers.]
    "ils se servaient ordinairement d’une forte massue qu’ils appelaient une israélite, et leur cri de guerre bien connu, loué soit Dieu, répandait la consternation dans toutes les provinces désarmées de l’Afrique"  "ils incendièrent les villages après les avoir pillés, et régnèrent en tyrans sur toute la campagne. L’agriculture et l’administration de la justice étaient interrompues : comme les circoncellions prétendaient rétablir l’égalité primitive du genre humain et réformer les abus de la société civile, ils offraient un asile aux esclaves et aux débiteurs qui accouraient en foule sous leurs drapeaux sacrés. Lorsqu’on ne leur résistait pas, ils se contentaient ordinairement de piller ; mais la moindre opposition était suivie de violences et de meurtres ; et ils firent souffrir les tortures les plus affreuses à quelques prêtres catholiques qui avaient voulu signaler imprudemment leur zèle." "un philosophe impartial découvre aisément l’influence ou l’abus de l’inflexibilité d’esprit puisée dans le caractère et les principes de la nation juive."

Gibbon, Histoire.., Chap XXI



Note: La foi juive est un fanatisme absolu oppposé à la Raison. Le dieu juif réclame des actes de pure fanatisme pour prouver sa foi. Par exemple, pour mettre à l'épreuve l'indéfectibilité  de la foi abrahamique, le dieu biblique réclame des actes absurdes et contre-natures comme lui sacrifier son propre enfant (sacrifice d'Isaac. Genèse 22) ou manger de la merde (Ezéchiel 4.12). Saint-Augustin approuve ce fanatisme: "Jephté comme obéissant à un ordre de Dieu, quand, voyant sa fille qui venait à sa rencontre, il la tue pour être fidèle au voeu qu’il avait fait" (Augustin, citée, I, XXI).


    JUDEO-CHRISTIANISME Note: il est absurde d'opposer l'islam au judéo-christianisme, car l'islam est une secte judéo-chrétienne (les ebionites / nazaréen). Jesus cité 36 et Moise 136 fois dans le Coran. Strict observance de la loi juive: pas de porc, iconoclasme...
    "Les Juifs qui, tout en étant chrétiens, observent la Loi sont des ébionites. l’islamisme est à beaucoup d’égards la prolongation ou plutôt la revanche du nazaréisme. Mahomet fut un nazaréen, un judéo-chrétien. Le monothéisme sémitique reprit par lui ses droits et se vengea des complications mythologiques et polythéistes, que le génie grec avait introduites dans la théologie des premiers disciples de Jésus. Mahomet ne fit, en somme, que revenir au judéo-christianisme de Zénobie, par réaction contre le polythéisme métaphysique du concile de Nicée et des conciles qui suivent." Renan



    Les judéo-chrétiens voulaient détruire le paganisme. "Sans avoir contribué en rien à la catastrophe du 19 juillet (incendie de Rome), les chrétiens pouvaient donc être tenus, si l’on peut s’exprimer ainsi, pour des incendiaires de désir" "Les signes de répulsion qu’ils faisaient en passant devant les temples donnaient l’idée qu’ils ne songeaient qu’à les brûler" Renan "L’aversion non dissimulée des chrétiens pour les temples, les statues, les autels, amenait sans cesse des incidents" Renan. "si on punit quelques chrétiens, c’est qu’ils voulaient détruire la religion de l’État, et qu’ils brûlaient les temples quand ils le pouvaient." Voltaire.
    En 259 l'officier de l'armée romaine Polyeucte se rebelle contre l'édit de Dèce et s'en va casser toutes les statues du temple de Mélitène. Saint Théodore Tiron s’avisa de brûler, par dévotion, le temple de Cybèle dans Amasée. Le textes montre qu'il n'est pas condamné pour sa foi chrétienne déclarée à ses supérieurs, mais qu'il est arrêté seulement après son acte de vandalisme, et même après cela on lui offre un pardon s'il cesse d'être chrétien, mais comme il s'obstine, rit à ses juges, il est condamné à mort en 303 sous Dicolétien.


La haine judéo-chrétienne pour le paganisme gréco-romain.
   
   I - Accusation d'incohérence du polythéisme contre l'idée monothéiste, provenant de l'incompréhension de la pensée païenne panthéiste. En fait la véritable opposition n'est pas dans l'idée de l'unicité de dieu mais dans la transendance magique du Dieu chrétien opposée à l'immanence à tendance naturaliste du paganisme qui confond dieu avec la nature et où les dieux ne sont que les divers manifestatiosn des puissances de la nature: zeus pour la foudre, la manifestation la plus puissante ; nepture - la mer ; minerve - la partie élevée de l'air mais aussi de l'âme/de la pensée.... ("la pluralité des dieux ne subsiste plus, du moment que Jupiter les comprend tous" Augustin, citée, VII, XIII)

L'arnaque du soi-disant monothéisme
"Et cependant ces gens-là [les chrétiens] sont religieux à leur manière, puisque le dieu qu'ils adorent est I'Être réellement tout puissant et tout bon qui gouverne le monde visible, et que nous adorons nous-mêmes, je le sais, sous d'autres noms. Ils me semblent donc agir comme il faut, en ne manquant point à leurs lois; seulement ils pèchent en ceci, que, au mépris des autres dieux, ils en servent exclusivement un seul, dont ils nous croient privés, nous autres Gentils, enflés qu'ils sont d'un orgueil barbare poussé jusqu'à la folie."
Empereur Julien, lettre à Théodore

Varron est une des sources principales sur la religion romaine.
"Varron dit encore, dans son introduction à la théologie naturelle, qu’il croit que [...] ce monde est Dieu. [...] Il semble ici que Varron reconnaisse en quelque façon l’unité de Dieu; mais pour faire en même temps la part du polythéisme, il ajoute que le monde est divisé en deux parties, le ciel et la terre, le ciel en deux autres, l’éther et l’air, la terre, de même, en eau et en continent; que l’éther occupe la région la plus haute, l’air la seconde, l’eau la troisième, la terre enfin la plus basse région; que ces quatre éléments sont l’emplis d’âmes, le feu et l’air d’âmes immortelles, l’eau et la terre d’âmes mortelles; que dans l’espace qui s’étend depuis la limite circulaire du ciel jusqu’au cercle de la lune habitent les âmes éthérées, qui sont les astres et les étoiles, dieux célestes, visibles aux sens en même temps qu’intelligibles à la raison;" "dès lors la pluralité des dieux ne subsiste plus, du moment que Jupiter les comprend tous, soit qu’on les regarde comme ses parties ou ses puissances, soit qu’on donne à l’âme du monde partout répandue le nom de plusieurs dieux à cause des différentes parties de l’univers ou des différentes opérations de la nature" "Ainsi tous les dieux choisis ne sont que le monde; les uns le monde entier, les autres, quelques-unes de ses parties"
Augustin, cité de Dieu, VII, VI -  XIII - XVI


 si l'on veut appeler la mer Neptune, et les moissons Cérès, si l'on se plaît à employer abusivement le nom de Bacchus au lieu du terme propre qui désigne le vin, on est maître aussi de donner à la terre le titre de Mère des dieux, pourvu qu'en réalité on préserve son esprit de la souillure honteuse de la superstition
Lucrèce, de la Nature des Choses, Chant II, 651-660.


    II -  Association théologique/platonicienne du bien au seul grand dieu. Si le grand Dieu est bon, le mal vient donc des esprits inférieurs, les démons du paganisme. Les dieux du paganisme (Aphrodite, Apollon ect..) sont ainsi donc identifiés comme des esprits maléfiques, et le paganisme sottement pris pour un culte démoniaque. la haine des divinités païennes provient de ce raisonnement théologique. Le concept absurde de bon dieu transcendant invite alors à combattre à mort la religion païenne.
    III -  Accusation d'immoralité dans les mythes des dieux. C'est vrai, mais la bible hébraïque est elle aussi un ouvrage immoral remplit d'appel au meurtre des femmes et des bébés et de génocide et sacrifice humain par le dieu juif. On y trouve également des scène d'inceste (files de Loth. Deutéronome, 25,5) de viol et de canibalisme.... (le roi David exprime son repentir après son adultère et le meurtre d’Urie (cf. 2 S 12,16), que le roi Achab s’humilie après le meurtre de Naboth (cf. 1 R 21,27)). Viol de Dinah (Genèse)
    IV - Accusation d'immoralité des païens (vise essentiellement les questions sexuelles). Mais les païens accusent réciproquement les chrétiens d'immoralité (Zosime, Eunape..). A lire les philosophes païens et les pères de l'église l'avantage de moralité est clairement en faveur du paganisme. Augustin admet d'ailleurs que c’est "ce désir de la gloire qui ont inspiré aux Romains tout ce qu’ils ont fait de merveilleux" citée, V, XVIII ce qui réfute sa doctrine de l'humilité.
   V - Dénonciation de la superstition païenne (sacrifices, devin, magiciens, aruspice ect...). Rien de mieux que ce qu'on déjà dit les philosophes, alors même que, le chistianisme avec ses miracles, ses prophéties et ses guérisseurs est lui complètement issue de la pensée magique. Les païens accusent d'ailleurs les prêtres chrétiens d'être une bande de charlatants et d'imposteurs qui n'a comme public que des niais et des sots (Celse, Porphyre).
     VI - Accusation d'idolâtrie (les idôles = les statues païennes). Symbolique non comprise (Porphyre de Tyr: "même en supposant que l'un des Grecs ait l'esprit assez léger pour penser que les dieux habitent dans les statues, son idée serait beaucoup plus pure que celle de l'homme qui croit que le Divin est entré dans le sein de la Vierge Marie").

    La haine judéo-chrétienne pour l'idôlatrie et le poythéisme provient du judaisme. En effet les deux premiers des 10 commandements ordonnés par Moise sont: " 1 /Tu n’auras pas d’autres dieux que moi ; et 2 / Tu ne feras aucune idole, aucune image de ce qui est là-haut dans les cieux, ou en bas sur la terre, ou dans les eaux par-dessous la terre. Tu ne te prosterneras pas devant ces images, pour leur rendre un culte. Car moi, le Seigneur ton Dieu, je suis un Dieu jaloux ". (monolatrie).
idem dans l'islam: Destruction de sites liés à l'Islam précoce

    En 346 Julius Firmicus Maternus écrit aux empereurs chrétiens et invoque l'ancien testament pour réclamer la destrution du paganisme: « Celui qui sacrifiera aux idoles sera exterminé, et son nom sera entièrement effacé de dessus la terre. »  Exode, chap. 22. « Si votre frère, si votre fils, si votre femme, qui est à côté de vous, si votre ami, qui est un autre vous-même, vous dit en secret: Allons adorer les dieux des nations étrangères! vous n'y consentirez point, vous ne prêterez point l'oreille à ses discours; vous ne l'épargnerez point et n'userez point de dissimulation ni d'indulgence envers lui ; vous le dénoncerez et lèverez le premier la main pour le faire mourir, et tout le peuple la lèvera ensuite. Il sera lapidé et mourra pour avoir voulu vous détourner du culte de Dieu. »  Deutéronome, chap. 15. "La loi défend de pardonner ni au fils ni au frère. Elle oblige à punir la femme que l’on aime tendrement et à lui enfoncer le fer dans le sein. Elle met les armes en main et commande de les tourner contre les amis les plus intimes, et elle anime tout le peuple à venger Dieu et à exterminer l'idolâtre. Elle menace même les communautés et les villes d'une ruiné entière" "vous les ferez mourir par l'épée; vous mettrez le feu à la ville et vous n'y laisserez aucun habitant. " Deutéronome, chap. 13.  "Je ferai mourir de mort ses enfants" Apocalypse 2-23









            Contre Jésus-Christ
         
            L'Origine Satanique du Judéo-Christianisme dévoilée par le Fanatisme des premiers Chrétiens

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De la Destruction du Paganisme Antique à la Renaissance du Panthéisme au XIIe siècle

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Marc-Aurèle l'antidote contre le christianisme

Critique de l'Apport du christianisme à la Civilisation occidentale

Les Racines Chrétiennes de la Décadence Actuelle de l'Occident


 Lettre ouverte à Allan Arsmann


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